J’ai tué mon père, j’ai tué ma mère. J’ai scié ce qui me reliait au ciel, coupé les doigts qui m’attachaient aux fils, puis, patiemment, j’ai guetté ma prochaine victime.
François Vitalis
J’ai tué mon père, j’ai tué ma mère. J’ai scié ce qui me reliait au ciel, coupé les doigts qui m’attachaient aux fils, puis, patiemment, j’ai guetté ma prochaine victime.
François Vitalis